"Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à Vous"
Le nom de Bernadette, l'humble et douce privilégiée de la Vierge Immaculée, est inséparable de celui de Notre-Dame de Lourdes (fête le 11 février). La Voyante étant plus connue que la sainte religieuse, nous rappellerons de préférence en ce jour, celle que le Pape Pie XI a béatifiée le 14 juin 1925, sous le nom de Soeur Marie-Bernard, de la Congrégation de Nevers .
C'est huit ans après les apparitions que Bernadette arrivait au couvent de Saint-Gildard, le 7 juillet 1866. On comprend qu'elle y fut un objet de pieuse curiosité, non seulement pour les Soeurs, mais aussi pour les personnes du monde. Toutefois, cette curiosité, quand elle s'en apercevait, ne troublait point son calme et son humilité, tant elle vivait recueillie, tout entière à la pensée de DIEU, de JESUS et de Marie.
DIEU permit que les humiliations ne lui manquassent pas de la part des supérieures. La Sainte Vierge lui avait promis de la rendre heureuse "non pas en ce monde, mais au Ciel".
Saint Siméon parent du SAUVEUR, se rangea de bonne heure au nombre de ses disciples et reçut le SAINT-ESPRIT avec les apôtres, au Cénacle, le jour de la Pentecôte. Il fut choisi pour succéder à Saint Jacques sur le siège de Jérusalem.
Grande était la joie du vaillant évêque de voir chaque se multiplier les disciples de JESUS-CHRIST ; grande aussi était sa tristesse de voir l’hérésie se joindre à la persécution pour attaquer la foi chrétienne.
Il avait atteint l’âge de cent vingt ans, malgré les épreuves de son apostolat, quand les représentants de l’empereur Trajan le firent arrêter comme chrétien et comme parent de JESUS-CHRIST. Les interrogatoires n’ayant servi qu’à faire éclater la fermeté du saint vieillard, le juge le fit fouetter plusieurs fois et lui infligea d’autres tourments qu’il supporta, quoique brisé par l’âge, avec un courage dont ses bourreaux furent étonnés eux-mêmes.
Mais DIEU, qui avait donné à un si grand nombre d’innocentes vierges et à des enfants la force d’endurer la rigueur des éléments et de mépriser les tortures que la rage des païens inventait chaque jour pour les persécuter, DIEU donna à cet homme vénérable le courage de souffrir sans faiblesse et de mourir enfin sur une croix comme le SAUVEUR.
Saint Siméon accomplit son sacrifice le 18 février de l’an 107 ou 109. Il passe pour avoir été le dernier survivant de ceux qui avaient eu le bonheur de voir JESUS-CHRIST sur la terre.
DIEU permit que les dénonciateur de Saint Siméon, qui l’avaient fait poursuivre comme parent de JESUS, fussent pris dans leur propre piège, car convaincus eux-mêmes par les juges romains d’voir quelque parenté avec le SAUVEUR, parce qu’ils étaient de la race royale de David, ils payèrent de leur vie le crime de leur naissance et moins heureux que Saint Siméon, dont la mort fut une source de gloire pour lui, il périrent en ennemis du SAUVEUR et encoururent avec la mort temporelle, les châtiment de l’éternité .
Faut-il regretter que les détails de la vie d’un grand nombre de saint soient restés le secret du ciel ? Assurément c’est une grande consolation pour nous, c’est un sujet d’édification que de pénétrer dans l’intimité de leur vie ; mais nous devons nous consoler des lacunes de l’histoire en songeant que des vies incomparables comme celles de Marie et Joseph nous sont elles-mêmes à peu près complètement cachées.
Admirons les desseins de DIEU et réjouissons-nous à la pensée qu’au ciel toutes les merveilles de la sainteté seront révélées aux élus.
Pratique : Ayez une grande reconnaissance envers Dieu, qui vous a prédestiné à la foi chrétienne.
Le nom de Bernadette, l'humble et douce privilégiée de la Vierge Immaculée, est inséparable de celui de Notre-Dame de Lourdes (fête le 11 février). La Voyante étant plus connue que la sainte religieuse, nous rappellerons de préférence en ce jour, celle que le Pape Pie XI a béatifiée le 14 juin 1925, sous le nom de Soeur Marie-Bernard, de la Congrégation de Nevers .
C'est huit ans après les apparitions que Bernadette arrivait au couvent de Saint-Gildard, le 7 juillet 1866. On comprend qu'elle y fut un objet de pieuse curiosité, non seulement pour les Soeurs, mais aussi pour les personnes du monde. Toutefois, cette curiosité, quand elle s'en apercevait, ne troublait point son calme et son humilité, tant elle vivait recueillie, tout entière à la pensée de DIEU, de JESUS et de Marie.
DIEU permit que les humiliations ne lui manquassent pas de la part des supérieures. La Sainte Vierge lui avait promis de la rendre heureuse "non pas en ce monde, mais au Ciel".
Elle eut aussi beaucoup à souffrir des crises d'asthme qui déchiraient sa poitrine. On lui confia successivement les charges d'infirmière et de sacristine. Bientôt, elle n'eut plus qu'un état, celui de victime: victime de pureté, elle avouait ne pas connaître le péché; victime d'humilité, elle se regardait comme "un balai qu'on met dans un coin".
Il fallait l'entendre dire: "Marie est si belle que, quand on L'a vue une fois, on voudrait mourir pour La revoir." Ce bonheur lui arriva le 16 avril 1879. Toute sa vie de religieuse, comme celle de Voyante abonde en traits pleins de charme et d'édification.
Il fallait l'entendre dire: "Marie est si belle que, quand on L'a vue une fois, on voudrait mourir pour La revoir." Ce bonheur lui arriva le 16 avril 1879. Toute sa vie de religieuse, comme celle de Voyante abonde en traits pleins de charme et d'édification.
SAINT SIMEON
Saint Siméon parent du SAUVEUR, se rangea de bonne heure au nombre de ses disciples et reçut le SAINT-ESPRIT avec les apôtres, au Cénacle, le jour de la Pentecôte. Il fut choisi pour succéder à Saint Jacques sur le siège de Jérusalem.
Grande était la joie du vaillant évêque de voir chaque se multiplier les disciples de JESUS-CHRIST ; grande aussi était sa tristesse de voir l’hérésie se joindre à la persécution pour attaquer la foi chrétienne.
Il avait atteint l’âge de cent vingt ans, malgré les épreuves de son apostolat, quand les représentants de l’empereur Trajan le firent arrêter comme chrétien et comme parent de JESUS-CHRIST. Les interrogatoires n’ayant servi qu’à faire éclater la fermeté du saint vieillard, le juge le fit fouetter plusieurs fois et lui infligea d’autres tourments qu’il supporta, quoique brisé par l’âge, avec un courage dont ses bourreaux furent étonnés eux-mêmes.
Mais DIEU, qui avait donné à un si grand nombre d’innocentes vierges et à des enfants la force d’endurer la rigueur des éléments et de mépriser les tortures que la rage des païens inventait chaque jour pour les persécuter, DIEU donna à cet homme vénérable le courage de souffrir sans faiblesse et de mourir enfin sur une croix comme le SAUVEUR.
Saint Siméon accomplit son sacrifice le 18 février de l’an 107 ou 109. Il passe pour avoir été le dernier survivant de ceux qui avaient eu le bonheur de voir JESUS-CHRIST sur la terre.
DIEU permit que les dénonciateur de Saint Siméon, qui l’avaient fait poursuivre comme parent de JESUS, fussent pris dans leur propre piège, car convaincus eux-mêmes par les juges romains d’voir quelque parenté avec le SAUVEUR, parce qu’ils étaient de la race royale de David, ils payèrent de leur vie le crime de leur naissance et moins heureux que Saint Siméon, dont la mort fut une source de gloire pour lui, il périrent en ennemis du SAUVEUR et encoururent avec la mort temporelle, les châtiment de l’éternité .
Faut-il regretter que les détails de la vie d’un grand nombre de saint soient restés le secret du ciel ? Assurément c’est une grande consolation pour nous, c’est un sujet d’édification que de pénétrer dans l’intimité de leur vie ; mais nous devons nous consoler des lacunes de l’histoire en songeant que des vies incomparables comme celles de Marie et Joseph nous sont elles-mêmes à peu près complètement cachées.
Admirons les desseins de DIEU et réjouissons-nous à la pensée qu’au ciel toutes les merveilles de la sainteté seront révélées aux élus.
Pratique : Ayez une grande reconnaissance envers Dieu, qui vous a prédestiné à la foi chrétienne.
"Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à Vous"
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