"Il n’y a pas d’autre différence entre l’Évangile et la vie des Saints
qu’entre une musique notée et une musique chantée.”
(Saint François de Sales.)
SAINT SIMEON
Évêque et Martyr
Saint Siméon parent du SAUVEUR, se rangea de bonne heure
au nombre de ses disciples et reçut le SAINT-ESPRIT avec les apôtres, au
Cénacle, le jour de la Pentecôte. Il fut choisi pour succéder à Saint
Jacques sur le siège de Jérusalem.
Grande était la joie du vaillant évêque de voir chaque se multiplier les
disciples de JÉSUS-CHRIST ; grande aussi était sa tristesse de voir
l’hérésie se joindre à la persécution pour attaquer la foi chrétienne.
Il avait atteint l’âge de cent vingt ans, malgré les épreuves de son
apostolat, quand les représentants de l’empereur Trajan le firent
arrêter comme chrétien et comme parent de JÉSUS-CHRIST.
Les interrogatoires n’ayant servi qu’à faire éclater la fermeté du saint
vieillard, le juge le fit fouetter plusieurs fois et lui infligea
d’autres tourments qu’il supporta, quoique brisé par l’âge, avec un
courage dont ses bourreaux furent étonnés eux-mêmes.
Mais DIEU, qui avait donné à un si grand nombre d’innocentes vierges et à
des enfants la force d’endurer la rigueur des éléments et de mépriser
les tortures que la rage des païens inventait chaque jour pour les
persécuter, DIEU donna à cet homme vénérable le courage de souffrir sans
faiblesse et de mourir enfin sur une croix comme le SAUVEUR.
Saint Siméon accomplit son sacrifice
le 18 février de l’an 107 ou 109. Il passe pour avoir été le dernier
survivant de ceux qui avaient eu le bonheur de voir JÉSUS-CHRIST sur la
terre.
DIEU permit que les dénonciateur de Saint Siméon,
qui l’avaient fait poursuivre comme parent de JÉSUS, fussent pris dans
leur propre piège, car convaincus eux-mêmes par les juges romains
d’avoir quelque parenté avec le SAUVEUR, parce qu’ils étaient de la race
royale de David, ils payèrent de leur vie le crime de leur naissance et
moins heureux que Saint Siméon, dont
la mort fut une source de gloire pour lui, il périrent en ennemis du
SAUVEUR et encoururent avec la mort temporelle, les châtiment de
l’éternité .
Faut-il regretter que les détails de la vie d’un grand nombre de saint
soient restés le secret du ciel ? Assurément c’est une grande
consolation pour nous, c’est un sujet d’édification que de pénétrer dans
l’intimité de leur vie ; mais nous devons nous consoler des lacunes de
l’histoire en songeant que des vies incomparables comme celles de Marie
et Joseph nous sont elles-mêmes à peu près complètement cachées.
Admirons les desseins de DIEU et réjouissons-nous à la pensée qu’au ciel
toutes les merveilles de la sainteté seront révélées aux élus.
Pratique : Ayez une grande reconnaissance envers Dieu, qui vous a prédestiné à la foi chrétienne.
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SAINTE BERNADETTE SOUBIROUS
Voyante de Lourdes, et Religieuse à Nevers
(+1879)
"Il n’y a pas d’autre différence entre l’Évangile et la vie des Saints
qu’entre une musique notée et une musique chantée.”
(Saint François de Sales.)
SAINT SIMEON
Évêque et Martyr
Évêque et Martyr
Saint Siméon parent du SAUVEUR, se rangea de bonne heure
au nombre de ses disciples et reçut le SAINT-ESPRIT avec les apôtres, au
Cénacle, le jour de la Pentecôte. Il fut choisi pour succéder à Saint
Jacques sur le siège de Jérusalem.
Grande était la joie du vaillant évêque de voir chaque se multiplier les disciples de JÉSUS-CHRIST ; grande aussi était sa tristesse de voir l’hérésie se joindre à la persécution pour attaquer la foi chrétienne.
Il avait atteint l’âge de cent vingt ans, malgré les épreuves de son apostolat, quand les représentants de l’empereur Trajan le firent arrêter comme chrétien et comme parent de JÉSUS-CHRIST.
Les interrogatoires n’ayant servi qu’à faire éclater la fermeté du saint vieillard, le juge le fit fouetter plusieurs fois et lui infligea d’autres tourments qu’il supporta, quoique brisé par l’âge, avec un courage dont ses bourreaux furent étonnés eux-mêmes.
Mais DIEU, qui avait donné à un si grand nombre d’innocentes vierges et à des enfants la force d’endurer la rigueur des éléments et de mépriser les tortures que la rage des païens inventait chaque jour pour les persécuter, DIEU donna à cet homme vénérable le courage de souffrir sans faiblesse et de mourir enfin sur une croix comme le SAUVEUR.
Saint Siméon accomplit son sacrifice le 18 février de l’an 107 ou 109. Il passe pour avoir été le dernier survivant de ceux qui avaient eu le bonheur de voir JÉSUS-CHRIST sur la terre.
DIEU permit que les dénonciateur de Saint Siméon, qui l’avaient fait poursuivre comme parent de JÉSUS, fussent pris dans leur propre piège, car convaincus eux-mêmes par les juges romains d’avoir quelque parenté avec le SAUVEUR, parce qu’ils étaient de la race royale de David, ils payèrent de leur vie le crime de leur naissance et moins heureux que Saint Siméon, dont la mort fut une source de gloire pour lui, il périrent en ennemis du SAUVEUR et encoururent avec la mort temporelle, les châtiment de l’éternité .
Faut-il regretter que les détails de la vie d’un grand nombre de saint soient restés le secret du ciel ? Assurément c’est une grande consolation pour nous, c’est un sujet d’édification que de pénétrer dans l’intimité de leur vie ; mais nous devons nous consoler des lacunes de l’histoire en songeant que des vies incomparables comme celles de Marie et Joseph nous sont elles-mêmes à peu près complètement cachées.
Admirons les desseins de DIEU et réjouissons-nous à la pensée qu’au ciel toutes les merveilles de la sainteté seront révélées aux élus.
Pratique : Ayez une grande reconnaissance envers Dieu, qui vous a prédestiné à la foi chrétienne.
Grande était la joie du vaillant évêque de voir chaque se multiplier les disciples de JÉSUS-CHRIST ; grande aussi était sa tristesse de voir l’hérésie se joindre à la persécution pour attaquer la foi chrétienne.
Il avait atteint l’âge de cent vingt ans, malgré les épreuves de son apostolat, quand les représentants de l’empereur Trajan le firent arrêter comme chrétien et comme parent de JÉSUS-CHRIST.
Les interrogatoires n’ayant servi qu’à faire éclater la fermeté du saint vieillard, le juge le fit fouetter plusieurs fois et lui infligea d’autres tourments qu’il supporta, quoique brisé par l’âge, avec un courage dont ses bourreaux furent étonnés eux-mêmes.
Mais DIEU, qui avait donné à un si grand nombre d’innocentes vierges et à des enfants la force d’endurer la rigueur des éléments et de mépriser les tortures que la rage des païens inventait chaque jour pour les persécuter, DIEU donna à cet homme vénérable le courage de souffrir sans faiblesse et de mourir enfin sur une croix comme le SAUVEUR.
Saint Siméon accomplit son sacrifice le 18 février de l’an 107 ou 109. Il passe pour avoir été le dernier survivant de ceux qui avaient eu le bonheur de voir JÉSUS-CHRIST sur la terre.
DIEU permit que les dénonciateur de Saint Siméon, qui l’avaient fait poursuivre comme parent de JÉSUS, fussent pris dans leur propre piège, car convaincus eux-mêmes par les juges romains d’avoir quelque parenté avec le SAUVEUR, parce qu’ils étaient de la race royale de David, ils payèrent de leur vie le crime de leur naissance et moins heureux que Saint Siméon, dont la mort fut une source de gloire pour lui, il périrent en ennemis du SAUVEUR et encoururent avec la mort temporelle, les châtiment de l’éternité .
Faut-il regretter que les détails de la vie d’un grand nombre de saint soient restés le secret du ciel ? Assurément c’est une grande consolation pour nous, c’est un sujet d’édification que de pénétrer dans l’intimité de leur vie ; mais nous devons nous consoler des lacunes de l’histoire en songeant que des vies incomparables comme celles de Marie et Joseph nous sont elles-mêmes à peu près complètement cachées.
Admirons les desseins de DIEU et réjouissons-nous à la pensée qu’au ciel toutes les merveilles de la sainteté seront révélées aux élus.
Pratique : Ayez une grande reconnaissance envers Dieu, qui vous a prédestiné à la foi chrétienne.
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SAINTE BERNADETTE SOUBIROUS
Voyante de Lourdes, et Religieuse à Nevers
(+1879)
Le nom de BERNADETTE l'humble
et douce privilégiée de la Vierge Immaculée, est inséparable de celui
de Notre-Dame de Lourdes (fête le 11 février). La Voyante étant plus
connue que la sainte religieuse, nous rappellerons de préférence en ce
jour, celle que le Pape Pie XI a béatifiée le 14 juin 1925, sous le nom
de Sœur Marie-Bernard, de la Congrégation de Nevers.
C'est huit ans après les apparitions que Bernadette arrivait
au couvent de Saint-Gildard, le 7 juillet 1866. On comprend qu'elle y
fut un objet de pieuse curiosité, non seulement pour les Sœurs, mais
aussi pour les personnes du monde. Toutefois cette curiosité, quand elle
s'en apercevait, ne troublait point son calme et son humilité, tant
elle vivait recueillie, tout entière à la pensée de DIEU, de JÉSUS et de
MARIE.
DIEU
permit que les humiliations ne lui manquassent pas de la part des
supérieures. La Sainte Vierge lui avait promis de la rendre heureuse, "non pas en ce monde, mais au Ciel."
Elle eut aussi beaucoup à souffrir des crises d'asthme qui
déchiraient sa poitrine. On lui confia successivement les charges
d'infirmière et de sacristine. Bientôt, elle n'eut plus qu'un état,
celui de victime: victime de pureté, elle avouait ne pas connaître le
péché; victime d'humilité, elle se regardait comme "un balai qu'on met
dans un coin".
Il fallait l'entendre dire: "Marie est si belle que, quand on L'a vue une fois, on voudrait mourir pour La revoir."
Ce bonheur lui arriva le 16 avril 1879. Toute sa vie de religieuse,
comme celle de Voyante abonde en traits pleins de charme et
d'édification.
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SAINTES CONSTANCE,
ATTICA et ARTÉMIE
Vierges
(†350)
CONSTANCE,
fille de l´empereur Constantin, était encore païenne et affligée d´un
ulcère qui envahissait peu à peu tout son corps. Elle alla dans
l´impuissance où elle voyait les médecins, solliciter du secours au
tombeau de Sainte Agnès, dont on lui citait quelques miracles.
Lorsqu'elle fut là, elle pria et s´endormit. Alors elle entendit une voix qui lui disait: "Constance, allez constamment, croyez en JÉSUS-CHRIST Fils de DIEU, et Il vous guérira." Elle se réveilla et se trouva guérie.
Aussitôt, retournant au palais, elle annonça vivement à son père
le miracle qu'elle venait d'obtenir. Parmi les généraux de Constantin,
le principal était alors Gallicanus, père de deux vierges nommées Attica et Artémie. Ce personnage, qui était veuf depuis quelque temps, voyant la princesse Constance florissante de santé, demanda sa main à son père.
Constantin, qui comprenait que sa fille avait pu faire le vœu de virginité, hésitait à répondre. Constance vint
à son aide et dit à Gallican: "Je vous prie de remettre les noces que
vous projetez après la victoire que vous allez remporter sur les
Scythes, et laissez-moi vos deux filles Attica et Artémie."
Le général, voyant dans ces paroles une prophétie, partit pour
la guerre, emmenant avec lui deux sages officiers que la princesse lui
donnait pour conseillers et qui étaient les Saints Jean et Paul; ils lui
firent comprendre que cette victoire qu'il attendait lui serait
accordée par le DIEU de Constance; et dès qu'il se vit vainqueur, il se déclara chrétien.
Il ne songea plus qu'à en remplir les devoirs. Les noces
n'eurent pas lieu. Les trois vierges se consacrèrent à une retraite
sainte auprès du tombeau de Sainte Agnès. Elles allèrent rejoindre cette
grande vierge, et sont honorées ensemble le 18 février de l'an 350.
"O Marie conçue sans péché,
priez pour nous qui avons recours à Vous"
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