lundi 23 mars 2009

POUR LE PAPE........CONTRE LE MENSONGE ET LA MORT

H.I.V. POUR LES NULS. - Son fonctionnement


Le virus de HIV est dans le corps de la personne infectée comme un cambrioleur qui veut ouvrir un coffre-fort.

Le trésor qu'il contient c’est à la fois la clef et le moyen pour le virus de se reproduire à l’infini à l’intérieur de cet organisme.

Mais le coffre-fort possède une combinaison fort compliquée (le code génétique de l’individu).

L’intrus vient forcément lui-même d’un autre corps qui a été préalablement infecté et dont le code a été violé.

Mais il ne connaît donc que cette ancienne combinaison et il l’essaie dans le nouvel organisme.

Avec, il parvient à ouvrir certains des boutons du coffre-fort mais pas tous. Il faudra le renfort d’autres virus venant d’individus différents, donc avec des codes différents, pour ouvrir tous les boutons qui ouvrent le coffre-fort.

D’où le fait que sont particulièrement exposés au Sida les personnes qui ont des rapports sexuels ou sanguins avec de nombreuses personnes au cours d’un laps de temps relativement court.

En additionnant les codes génétiques de ces partenaires, il augmente les chances que son propre code soit découvert.

Ainsi d'un point de vue strictement CLINIQUE, un groupe de 12 couples ou de 50 couples SAINS pourraient pratiquer l'échangisme à vie, sans aucun risque, dans l'unique mesure où ils restent entre eux…. Strictement entre eux.

Mais l'infidélité est immorale. Vous "avez le droit" d'être infidèle. Mais d'un droit l'autre, on peut aussi vous le dire. C'est ainsi.

Ce ne sont pas les préservatifs qui nous protègent, mais nous-mêmes, avec une hygiène de vie basée sur une morale assez primaire, naturelle, universelle…. "Tu ne commettras pas d'adultère".

Le fait est que le mot "morale" se passe rarement de l'attribut "chrétienne" (catholique). D'où que certains en ont les poils hérissés.

Ajoutons à cela le HIV ne se transmet pas seulement par voie sexuelle, cela tout le monde l’admet. Les transfusions sanguines et l’usage de seringues pour la drogue sont beaucoup, beaucoup plus dangereuses qu’un rapport sexuel même non-protégé, même anal, même avec quelqu’un d’infecté. On a très exactement 180 fois plus de chances d’attraper le HIV avec une transfusion de sang contaminé qu’en étant sodomisé(e) par un malade du SIDA sans capote. Cent quatre-vingt fois !

Ex : données officielles du CDC d’Atlanta



Source : http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/rr5402a1.htm

En conséquence, sur un plan strictement scientifique, le Pape a parfaitement raison de dire que le préservatif n’est pas une réponse essentielle au problème du SIDA. Les journalistes, et autres homos mondains à la Delanoé ont bien tort de considérer que le Pape est incompétent. Ce sont eux les ignorants. Le fait de compter parmi ses amis des morts du Sida ne confère AUCUNE compétence sur le sujet…..C’est comme si on pensait que les soldats de la guerre de 14 gazés dans les tranchés étaient tous -du coup- de bons chimistes.


De nombreux observateurs considèrent d’ailleurs que si la transmission sexuelle était prédominante, alors il y aurait tendance à l’équilibre homme-femme dans les pays occidentaux, or ce n’est pas le cas.



Les homosexuels représentent les deux tiers des malades dans les pays occidentaux, encore aujourd’hui, trente ans après le début de la prétendue « épidémie », qui touche en réalité extrêmement peu de monde.

On fait croire à présent, de façon à la fois pathétique et malhonnête que le problème reste important et reste aussi hétérosexuel en brandissant des statistiques sur l’Afrique. Précisément, et comme par hasard, l’endroit où il n’y a PAS de statistiques.

Disons les choses autrement : dans TOUS les pays où les statistiques sont sérieuses et vérifiables :


- Le SIDA ne concerne que les homosexuels mâles (66%), les drogués (30%) et les transfusés (3%). Ça ne veut pas dire qu’il faille les laisser tomber. Mais il ne faut pas mentir.

- Cette maladie touche peu de monde (trente à cent fois moins de cas que l’Hépatite C par exemple)

- Cette maladie décroit.



QU'EST-CE QU'UN HOMOSEXUEL?...
(D'APRES LE STATISTIQUES)
La prévalence (proportion de personnes porteuses du VIH) chez les homosexuels sexuellement actifs est près de 120 fois plus élevée que chez les hétérosexuels.

Source : ministère de la santé (http://www.invs.sante.fr/publications/2005/vih_sida_homosexuels/index.html )


Il y a trois définitions statistiques du mot « homosexuel(le) » :

1 : Est homosexuel(le) toute personne qui a eu une fois dans sa vie un rapport sexuel avec une personne du même sexe. Dans la cas de cette définition grotesque mais bien pratique pour grossir le nombre d’inverti(e)s présumé(e)s, ça donne 800.000 hommes, et 400.000 femmes, environ 3% de la population adulte.

2 : Est homosexuel(le) toute personne qui a eu récemment des rapports sexuels avec une personne du même sexe. Si par récemment on entend « dans les cinq dernières années », ce qui est plutôt large, on tombe à 1,5% des hommes (je n’ai pas le chiffre pour les femmes), soit 280.000 hommes en 1995.

3 : Est homosexuel(le) toute personne qui a eu récemment (depuis cinq ans) exclusivement des rapports sexuels avec des personnes du même sexe. Ça devrait être la bonne définition, celle qui correspond à un comportement « culturel », et le cas échéant, « politique ». Mais on tombe là sur un chiffre tellement faible qu’il est caché, vu la disproportion qu’il fait apparaître entre l’ampleur médiatique du sujet et la maigreur des effectifs concernés. Sans doute, si l’on en croit Maryse Jaspard, « le sexualité en France » La Découverte, notamment pages 95 et 96, de l’ordre de 50.000 personnes seulement, parisiennes à 90%, sont homosexuelles permanentes et exclusives.


Petit problème de probabilité :

- Sachant que les actes sexuels homosexuels représentent 2% au maximum des actes sexuels accomplis au cours d’une période de temps quelconque, et les actes hétérosexuels 98% au minimum.
- Sachant que les homosexuels constituent, dans les pays occidentaux,
80% des cas de porteurs du VIH (hors cas de transmission par transfusion médicale ou par consommation de drogue).
- Sachant qu’un biais statistique important conduit à sous-déclarer l’homosexualité et la consommation de drogue, et donc corrélativement, à sur-déclarer la normalité (pas de drogue, pas de fiotitude) en cas de maladie.

Quelle est la probabilité que l’hétérosexualité soit un moyen de transmission du VIH ? ELLE EST PRESQUE NULLE

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Documents :

Estimation du nombre d’homosexuels en France

Dans les années 90, le nombre d’homosexuels actifs était estimé à près de 300 000 personnes

Cette estimation est basée sur la vaste enquête « Analyses des Comportements Sexuels en France » (ACSF/Inserm) réalisée en 1992 auprès de 20 000 français.

Plus de 4% des hommes ont déclaré au cours de l’enquête ACSF « avoir eu au cours de leur vie des rapports sexuels avec des hommes ». Le nombre d’homosexuels est donc estimé à 800 000 sur la base des 20 millions d’hommes âgés de 18 à 69 ans. De plus, 1,5% des hommes enquêtés ont déclaré « avoir eu des rapports sexuels au cours des 5 dernières années », le nombre d’homosexuels sexuellement actifs peut donc être estimé à 280 000 homosexuels.

Cette enquête va être reconduite en 2005 sous le nom « le Contexte de la Sexualité en France » (CSF/Inserm/Ined/ANRS) et permettra sans doute d’estimer à nouveau le nombre d’homosexuels en France .

Estimation de la prévalence du VIH chez les homosexuels
La prévalence du VIH chez les homosexuels se situe entre 12 et 14%
Le nombre d’homosexuels infectés par le VIH a été estimé fin 1997 à 34 000 soit une prévalence de 4,2% par rapport à la population totale des homosexuels (source : BEH 2005, N°11), 12% si on ne rapporte ce nombre qu’aux homosexuels sexuellement actifs. La prévalence chez les homosexuels sexuellement actifs est près de 120 fois plus élevée que chez les hétérosexuels.

Pour ceux qui veulent des données plus récentes (enquête de 2006):
http://csf.kb.inserm.fr/csf/PDF/Homosexualit%E9%20augmentation%20chez%20femmes.pdf

Mais la conclusion sur notre sujet c’est : Homosexualité : augmentation chez les femmes, stabilité chez les hommes.

Castille Castillac

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